ARRIVEE A SALVADOR DE BAHIA

Nous sommes finalement arrivés à une vitesse incroyable de 8 nœuds (avec un courant favorable) et 20 nœuds de vent à 17 heures locales.

Nous avons maintenant 4 heures de décalage avec la France.

Très impressionnant vue de l’océan cette ville de Salvador de Bahia :  immense avec des immeubles « pire que chez nous »… et très moderne.  Il y a la plage avec cocotier, la route et la ville.

Ce n’était pas du tout comme ça que l’on avait imaginer Bahia…

L’arrivée au port s’est très bien passée. On a été accueillis par Méréore, un outremer 55 light (le rêve de Luc) du rallye des îles du soleil.  Béatrice et Pierre nous ont avancé des réals et donné les informations essentielles. Mais on n’est pas sortis de l’enceinte du port  de la soirée : le temps de dire bonjour à d’autres bat amis, la soirée était finie. Axel, Malaurie et même Laurine ont trouvé copains et copines.

Le port est au cœur de la ville : ça fait bizarre. De l’océan à la ville, on se sent limite un peu perdu… On se trouve juste en face de l’ascenseur qui lie la ville du haut et la ville du bas.

Lundi 22 janvier  2007

L’envie de découvrir et d’aller se promener est très forte mais la raison du Cned nous impose de patienter. Il faut mettre le paquet pour boucler les évaluations au 27, on est en retard et les petits ont envie de tout sauf de travailler. Seul Luc et Laurine sortent du port pour l’avitaillement.

Boulangerie et jus d’orange pressé frais pour le déjeuné. Un vrai régal… a des prix incroyablement bas.

Par exemple, Luc a aussi trouvé de la viande de bœuf ( du filet, bien entendu) dans une vrai boucherie qui se trouve dans la station essence. Le prix du kilos est de 7 réals c’est à dire 2 euros (deux euros)…

Ce soir, les enfants ont voulu manger dans une pizzéria, deux grosses pizzas et 5 boissons, ça nous est revenu à moins de 15 euros.

Demain, on va sûrement attaquer les restaurants « aux kilos ». On choisit, ils pèsent et cela revient à 2 ou 3  ou 5 euros par personnes. Je crois que ça ne vaut pas la peine de cuisiner, surtout avec la chaleur.

Les enfants ont passé l’après midi à jouer aux bombes à eau et à s’arroser, Laurine à faire du papotage, moi à faire du rangement et lessives, Luc à faire les formalités. C’est assez long, il faut compter deux jours de navigation entre bureaux pour obtenir le droit de rester au Brésil 3 mois que l’on peut renouveler une fois.

Ce n’est en fait que ce soir que l’on a pris l’ascenseur pour découvrir un peu l’extérieur du port.

En haut, c’est la vieille ville : elle est absolument magnifique avec une musique toujours omniprésente. Petites ruelles, petites échoppes, petits resto, grandes avenues, belles architectures. Ce n’est qu’un petit aperçu mais on a vraiment hâte d’y retourner.
On a aussi goûter au jus de canne à sucre.

Demain comme tous les mardis, il y a la fête dans les rue avec musique à gogo.

Vivement demain…

Le Mercado Modelo, ancien marché aux esclaves de Bahia.

INFORMATION IMPORTANTE :

Notre système de mail du bateau ne capte plus : on ne peut donc plus lire les mails qui arrivent. Nous pensons trouver une solution,pour le moment, il faudra communiquer sur :

-         l’ordinateur portable : luc.gaillard.so52.2@free.fr

-         le téléphone iridium : 00 88 163 158 60 93

Comments

[Alain et Véro]

Salut la famille Gaillard
Je vois que finalement vous n'êtes pas devenu végétariens !!!
Ici le froid a fait son apparition mais la lecture de votre message nous apporte un peu de chaleur.
NB : je vais tester votre autre adresse mail.
Grosses bises de la famille Degache